Grâce à une chouette découverte (encore) trouvée ici, grâce à la complicité de la belle sœur (qui va régulièrement chez Ikéa), et du Papy qui nous a amené le marche-pieds…
Après quelques essais et mesures, avec quelques tasseaux, quelques coups de scie et lime…

La « tour d’apprentissage Montessori » rangée à l’envers
Anouk peut maintenant jouer les aide-cuisinières, et elle adore cela !
Tout d’abord, cette tour lui sert de poste d’observation pour voir ce qui mijote lorsqu’elle a faim (ce qui arrive chaque jour, aux mêmes heures), ensuite, elle peut se laver les mains (ou pigouiller dans l’évier… sans risquer d’y plonger !), elle n’est plus dans nos bras ni coincée sur sa chaise, et elle peut rester seule sans basculer dans la minute, ce qui est bien pratique pour cuisiner (et ce qui soulage un peu les dos des parents) !

Iris est heureuse d’avoir une complice pour cuisiner (principalement des gâteaux au chocolat, cela va sans dire…), même si cela demande encore de la surveillance pour éviter que les œufs ne cassent au mauvais endroit, que les liquides ne se renversent en dehors des plats ou que la cuisine ne semble enneigée tant la farine s’est éparpillée… Mais il faut bien que les premiers apprentissages se fassent (c’est plus sportif avec deux petites puces, soit 4 petites mains à occuper, bien sûr…), et cela reste un réel plaisir.

Le tablier neuf ne sert pas uniquement pour jouer à la dinette !

Tablier coloré cousu sur le même modèle que celui d’Iris, il y a deux ans.
Comment c’est fait ?
Nous avons découvert cette idée lumineuse sur le tard (Anouk marchait et grimpait depuis de nombreux mois), nous avions donc hésité à le faire, mais avec une maman qui ne peut pas vraiment porter et un papa plus que débordé, c’est extra, nous ne regrettons pas (merci Chloé de nous avoir convaincus !).
Et puisque nous voulions que cela fonctionne pour une minette de presque 21 mois (et 85 cm !), il a fallu adapter un peu. Sur un marche-pieds haut de 50 cm, Anouk était trop haute et cela faisait une protection bien trop basse. Les pieds ont donc été sciés de 5 cm, et par conséquent, la marche du bas rehaussée (sur un tasseau) pour éviter un trop grand écart de hauteur entre les deux marches, et la rambarde installée plus haute que le plan de travail de notre cuisine. Cette tour sera donc utile plusieurs mois, jusqu’à ce qu’Anouk soit trop grande (elle sera alors vraiment plus consciente du danger et plus prudente).


























Une gigoteuse en cotonnade et draps, toute légère, vite cousue pour les chaleurs du début d’été, doublée d’un jersey fin et bien doux. Elle est bien trop grande, car comme l’été ne dure pas si longtemps en Normandie, elle ne devrait pas être trop usée en une saison et pourra certainement servir encore l’été prochain.

Voici quelques cartes postales peintes/cousues/collées faites pour rêver un peu, et parties voir du pays via la poste… et même des cartes pour partir en vacances tout en restant chez soi, car j’ai moi aussi reçu en échange de bien jolies cartes de Lathelize, Saki, Papelhilo et Mathilde…
aquarelle, inspirée des mers tropicales
peintures, copiées sur Raoul Dufy
collages et couture d’emprunts à Matisse
aquarelle,couture et graines (souvent récoltées au jardin)