« M comme… » facile, pour moi, le thème du défi du mois de mars :

M comme moi, M comme Mélanie, M comme maman, M comme mars (oui, c’est Mon mois, celui où je vieillis)… bien entendu, il y a tout plein d’autres mots en M, mais en fait, j’avais juste envie que ce soit pour moi, cette fois, puisque j’avais offert tous mes premiers tampons gravés à Iris…
Je cherchais à graver des tampons dont j’aurais l’usage. J’aurais pu graver un petit « Merci », ou encore ma signature (j’ai conservé l’idée de Chloé d’un ex-libris), mes initiales…
Bref, en réalité, ce qui n’a pas été facile, c’est de faire un choix…
Finalement, j’ai préféré M comme Maison…

J’ai emprunté un encreur vert aux filles et testé au fur et à mesure… tellement dans le thème que j’avais gravé un M à la place du N !
… et M comme Machine à coudre (une évidence pour moi !) :
De quoi faire de petites étiquettes personnalisables lorsque l’on offre un pot de confiture maison, des biscuits faits maison… et surtout, des petites cousettes faites maison, que j’ai toujours plaisir à offrir (un bel événement aujourd’hui me dit que je vais pouvoir coudre une série de bavoirs !)





La voilà avec un short original et bien pratique (le batik c’est souple mais c’est aussi très solide pour crapahuter) qui servira encore au printemps et cet été, sans collants.
Finalement, rien ne se perd, et tout sert !
Ce qui est « triste » pour Iris, c’est un vêtement tout uni, mais à pois ou à rayures, c’est joli (moins qu’avec magnifique dessin de princesse qui brille, bien entendu…). Nous avions acheté les tissus ensemble, elle m’a réclamé sa tunique à pois pendant des mois (« parce que tu comprends maman, à l’école, les robes, c’est moins pratique… »). Je pensais au moins mettre un empiècement contrastant (à chats) pour égayer un peu, mais mademoiselle ne voulait pas, et comme pour une fois, c’était à sa demande (j’ai négocié l’intérieur des poches, presque invisible…).

Mais la tunique était encore trop triste (on prend vite goût aux fioritures, semble-t-il), alors de jolis ruban offert par Julie (merci ! ce sont les « plus beaux de la boîte ») ont fini de lui offrir une toute nouvelle carrière de « tunique adorée ». (Et voilà par la même occasion une maman rassurée : ouf, il n’y a pas besoin d’être aussi sobre en maternelle qu’au collège !).


Le manteau a donc encore de beaux jours devant lui, il tient bien chaud à Anouk pour cet hiver, et ensuite, comme nous ne jetons (presque) rien, il servira encore à bien d’autres enfants, c’est certain.